1 juin 2014

Et des poussières

Longtemps j'ai cru avoir fermé cette parenthèse. Tout ce temps elle est restée grande ouverte, sans jamais y écrire, toujours en y songeant. Un peu. Souvent.

Partir pour mieux te retrouver, ma précieuse fenêtre. Tu m’as tant manqué.

Se jeter, ne pas penser. Pourquoi tout réinventer quand il suffit de reprendre au dernier nœud. J'aime tant ce que j'y ai laissé.

'Ici je ne reviendrai plus'. J'ai menti. En tremblant je reviens, après tant de rien. Dans un frémissement je reviens. Trois longues années sans un mot, à quoi ressemblera maintenant ce tableau?

Aucune ambition, une simple envie renouvelée.
Je laisse aux ciels le soin de donner le rythme et la direction. Qu'ils changent bien sûr.
Mes ciels, après tout, sont variables! Jamais ce titre ne fut un hasard.

A tout de suite.

1 commentaire:

  1. tu n'as pas menti, tu n'as simplement pas cru à ton talent
    a bientôt
    Tipsy

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